De New York à Bamako en passant par Paris et Alger, l’une des priorités des chancelleries accréditées au Mali est la mise en œuvre de l’accord de paix d’Alger signé en 2015 entre les groupes armés du nord du Mali et le gouvernement. Celui-ci prévoit une meilleure représentativité des populations du nord du pays et de désarmer les mouvements d’ex-rebelles ou loyalistes afin de les intégrer à l’armée pour mettre fin aux tensions qui couvent dans ces régions. Mais depuis cinq ans cet accord patine. Une réunion de diplomates s’est tenue jeudi 1er octobre à Bamako.
Cela faisait des mois que la médiation internationale pour le suivi de l’accord de paix d’Alger ne s’était pas réunie. En cause, la crise socio-politique que traverse le Mali et…Lire la suite sur Rfi